Cette semaine j'ai lu de la BD, pour changer :)
Luuna, de Didier Crisse (au scénario) et Nicolas Kéramidas (au dessin), Bruno Garcia se charge de la mise en couleur. Luuna est publiée aux éditions Soleil... depuis 2002.
J'ai lu l'intégral du premier cycle (tome 1 à 5) de Luuna :
Histoire : Luuna fait partie de la tribu Paumanok, elle en est la princesse en quelque sorte car elle est la fille du chef. Cette tribu à une particularité : le pouvoir de communiquer avec les esprits, ce qui fait qu'elle est très respectée. C'est le soir de l'initiation de Luuna, il est important parce qu'il a pour but de définir son totem (animal auquel son âme sera liée pour toujours). Mais ce même soir correspond à la nuit d'Unkui, un esprit du mal qui va l'affubler d'une malédiction : Luuna sera sienne, à chaque nuit de pleine Lune. Deux totems l'accompagneront, un loup blanc représentant sa partie Paumanok, et un loup noir qui équivaut à son côté sombre et démoniaque. Luuna devra parcourir des lieues afin de se défaire de cette malédiction dangereuse pour elle et les siens.
Mon avis : Je ne suis pas fan des histoires d'indiens (sauf Pocahontas) mais quand j'ai vu la couv' de cet intégral, j'ai craqué. Elle est trop belle cette couv' !! Je ne connaissais pas le travail de Kéramidas et là je l'ai découvert, j'en étais ravie. J'aime beaucoup cet univers graphique proche des dessins animés à la Disney. Concernant l'histoire, comme je l'ai dit je ne suis pas fan des histoires d'indiens avec les esprits et tout (ça me fait penser à Yakari ! Tout le temps), néanmoins j'ai tout lu d'un coup, preuve que finalement je me suis laissé séduire.
Points positifs : L'univers graphique très plaisant, l'humour, la couv' (magnifique), les 3 petits esprits qui accompagnent Luuna (trop mignons), les retournements de situation franchement inattendus...
Points négatifs : je n'aime pas les histoires d'indiens (normalement je ne devrais mettre un goût purement personnel ici) , le côté dark de Luuna n'a été abordé que trop brièvement (j'aime le gore oO)...
Voili voilou...
A la prochaine...
Eyral
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